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LA FLOTTE DE LA SARINE

A l'époque où les véhicules n'existait pas encore et les routes n'étaient pas très praticables, les rivières étaient certainement le moyen d'acheminement de matériaux le plus rapide et le plus direct. 

En Gruyère, on exploitait donc le courant de la Sarine, pour

acheminer le bois plus bas dans la vallée.

On raconte, qu'un jour, un barrage s'est formé plus haut

dans la vallée au-dessus de Montbovon. Les groges étaient escarpées et la rivière capricieuse. Personne n'était capable d'aller démonter le barrage qui enpechait le bois de continuer son chemin juqu'aux ouvriers sauf un homme. On ne connaît pas son nom, il était sauvage et très

fort, on pensait même qu'il avait pactisé avec le Malin car il ne

vieillissait pas. 

Les travailleurs prirent leur courage et allèrent lui demander de l'aide, il accepta contre peu de choses. Et le travail pu reprendre.

Cette histoire n'est pas si étrange, mis à part qu'un siècle plus tard le même scénario se répeéta et le même homme vint au secours des villageois... On ne sait pas ce qu'il est devenu aujourd'hui, mais parfois on ne voit plus fotter de bois sur la Sarine et quelques jours plus tard, les troncs sont de retour et par dizaines...

 

 

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